LES MAIRES CONFRONTÉS AUX CONTRADICTIONS
DE LEURS ADMINISTRÉS FACE À LA CRISE DU LOGEMENT
(SONDAGE CSA POUR LE GROUPE IMMOBILIER PICHET).
Un sondage national réalisé par l'institut CSA pour le Groupe Pichet révèle que si 65% des Français considèrent la construction de logements neufs comme une priorité nationale, ils ne sont que 34 % à souhaiter que leur commune accueille de nouveaux habitants. Au moment de glisser leur bulletin dans l'urne, 59% d'entre eux prendront en compte les propositions des candidats en matière de logement.
En centre-ville et en banlieue, la rénovation de logements anciens et la création de logements neufs arrivent respectivement en 3ème et en 4èmeplace des attentes des électeurs derrière la création d'emplois et la sécurité.
Parmi les pistes plébiscitées par les Français pour permettre de relancer la construction de logements neufs : la simplification de la réglementation (41%) et la libération des terrains par l'état (en 1ère position pour les franciliens , avec 42% des réponses) ; mais aussi le renforcement de l'efficacité des dispositifs d'aides et d'incitation qu'ils ne jugent pas suffisamment efficaces (77%) et l'allongement de la pérennité de ces dispositifs au delà de 6 ans (67% des investisseurs locatifs).
« Ce sondage montre à quel point il est difficile pour un Maire de mettre en œuvre dans sa commune une politique du logement ambitieuse.A nous, promoteurs, de proposer des solutions d'aménagement urbain qui puissent répondre à leurs attentes » commente Patrice Pichet, Président Directeur Général du Groupe Pichet.
Lors de l'exposé de cette étude, le Groupe Pichet a également présenté ses résultats pour l'année écoulée. En 2013, et malgré une conjoncture économique dégradée pour la troisième année consécutive, le Groupe poursuit sa dynamique positive. Ses ventes ont ainsi progressé de 5 % dans un marché en baisse de -1,7 %. Réalisant un chiffre d'affaires consolidé de 255 millions d'euros, le Groupe Pichet a amélioré sa rentabilité avant impôts à 7,7 % et ses fonds propres ont progressé de 10 % à 130 millions d'euros. Avec une capacité de 4000 lits, son activité d'exploitation hôtelière a enregistré une croissance de 14 % de son CA. L'activité d'administration de biens a progressé de 23 % et sa surface viticole en Pessac-Léognan a été doublée pour atteindre 32 ha.